Position de Société Générale en réaction aux questions sur sa participation minoritaire dans la société Cofigéo
21/01/2021
Société Générale prend très au sérieux la question du bien-être animal. Investisseur minoritaire de Cofigéo, la Banque entretient un dialogue régulier et constructif avec la société sur l’ensemble des domaines stratégiques liés à son secteur d’activité dont la RSE. Le bien-être animal fera l'objet d'échanges à venir avec la société.
En tant qu’acteur responsable, Société Générale s’est doté de politiques sectorielles détaillant les obligations et engagements RSE que la banque applique dans le cadre de ses activités. Un travail de mise à jour de la politique sectorielle agro-alimentaire sera lancé prochainement afin d’y intégrer les questions liées au bien-être animal.
Position de Société Générale en réaction à de fausses informations de presse
16/11/2020
Le groupe Société Générale dément catégoriquement des informations de presse indiquant que, dans le cadre de l’étude du rapprochement de ses deux réseaux Crédit du Nord et Société Générale, le groupe aurait arrêté l’idée d’une marque unique. C’est faux. Jamais la Direction Générale n’a acté une telle décision qui aurait été prise au mépris de la méthode de consultation et de réflexion mise en place au travers de l’étude.
Pour rappel, celle-ci, dont les résultats seront présentés le 7 décembre prochain, se poursuit et mobilise des équipes des deux réseaux à travers de multiples groupes de travail ainsi que de nombreuses réunions de consultation qui visent à instruire les conditions pour qu’un tel rapprochement réponde aux ambitions communes de conquête, de différenciation, de rentabilité, de satisfaction et de proposition de valeur à apporter aux clients, entreprises, professionnels et particuliers.
Position de Société Générale en réaction au rapport d'Oxfam
27/10/2020
Vous nous avez transmis des éléments concernant la publication prochaine d’un nouveau rapport d’Oxfam sur les banques et le climat et l’évaluation de l’empreinte carbone de Société Générale y figurant.
Les données publiées dans le rapport, basées sur une extrapolation de l’empreinte économique sectorielle des banques datant de fin 2017, ne reflètent pas les efforts significatifs engagés en matière de transition écologique ces dernières années par les banques et les entreprises qu’elles accompagnent. Un euro financé ou investi dans un secteur donné n’a en effet pas le même impact carbone selon les critères RSE appliqués par la banque et l’entreprise.
L’alignement progressif des activités économiques avec des trajectoires permettant la limitation du réchauffement climatique est un enjeu crucial qui mérite le recours à des approches transparentes pour mesurer et piloter les impacts. C’est le sens des efforts engagés par cinq banques européennes dont Société Générale (dans la cadre de l’accord de Katowice) qui viennent d’aboutir à la définition d’une méthodologie robuste et applicable à tous les acteurs bancaires (cf. création d’un outil de mesure des portefeuilles de crédit open source basé sur la méthodologie PACTA for Banks du Think tank 2 Degrees Investing Initiative).
Cette méthodologie offre l'avantage d'une approche dynamique et sectorielle adaptée au niveau actuel de disponibilité des données climatiques des entreprises. Le secteur financier intervenant en support d'une économie encore très largement carbonée, il n'est pas surprenant que le scope 3 d'une banque à vocation universelle puisse encore paraître important. La question est plutôt d'évaluer la capacité de l'établissement à réorienter ses portefeuilles à un rythme acceptable au regard des scénarios climatiques, et à le faire en aidant la transition énergétique de ses clients les plus carbonés.
Compte-tenu des avancées réalisées ces dernières années, le secteur bancaire français est incontestablement reconnu comme un leader dans la finance verte, notamment par les agences
de notation extra-financières. Société Générale est activement engagée en faveur de la transition écologique volontariste et annonce régulièrement de nouvelles mesures pour 1/ réduire son exposition aux secteurs les plus émetteurs et 2/ soutenir le développement des énergies renouvelables.
En juillet dernier nous avons ainsi durci notre politique sur le charbon thermique parmi les plus strictes du secteur bancaire pour assurer notre retrait de l’industrie du charbon en 2030 dans les pays de l’Union européenne et de l’OCDE, et en 2040 dans le reste du monde. Nous avons également annoncé un nouvel objectif de contribution à la transition énergétique à hauteur de 120 milliards d’euros entre 2019 et 2023.
Il s’agit de continuer à enrichir nos engagements RSE en lien avec les enjeux collectifs et les attentes de nos parties prenantes. Suivant la méthodologie PACTA, et en réponse à
l’engagement de Société Générale dans le cadre du Collective commitment for climate action des Principles for Responsible Banking, nous allons publier des objectifs d’alignement de nos
portefeuilles, secteur par secteur. Ils engloberont nos engagements existants sur le secteur du charbon thermique et incluront notamment le suivi de la réduction du portefeuille crédit pétrole et gaz.
Position de Société Générale en réaction au rapport FairFinance - Oxfam
05/06/2019
Nous souhaitons réagir à la publication du dernier rapport de FairFinance France en partenariat avec Oxfam sur la politique des banques en matière de RSE, paru le 05 juin 2019.
Société Générale est convaincue de l’extrême importance des problématiques relatives aux sujets environnementaux et sociaux, et notamment à l’urgence climatique. Le Groupe accélère notamment de façon volontariste son soutien à une transition énergétique responsable vis-à-vis de l’ensemble des parties prenantes avec des progrès concrets.
Nous regrettons que l’analyse ne fasse aucune mention des avancées tangibles réalisées par le Groupe depuis le dernier rapport notamment sur les sujets relatifs à la transition énergétique, les engagements sur les droits humains ou le renforcement du cadre de gestion des risques environnementaux et sociaux. Or, dans une démarche constructive et de transparence, il nous semble indispensable de mettre en avant les progrès réalisés. De fait, nos notes progressent sur presque tous les critères par rapport au dernier rapport.
Par ailleurs, les données brutes des banques françaises sont comparées entre elles sans prise en compte de leur taille respective, de la nature de leurs métiers bancaires et de leur poids relatif par rapport aux banques internationales face à l’enjeu de transition énergétique.
Dès 2015, Société Générale a pris l’engagement de viser à inscrire son action sur une trajectoire compatible avec un scénario de limitation à 2 °C de réchauffement climatique de l’Agence Internationale pour l’Environnement. Nous avons pris de nombreuses mesures concrètes dans ce sens, en accélérant notre soutien aux énergies renouvelables et en réduisant progressivement les activités liées aux énergies fossiles, avec en priorité une politique de désengagement sur le charbon. Ces efforts sont reconnus, Société Générale a par exemple été classée 2ème sur le financement des énergies renouvelables sur la zone EMEA et n°1 en France en 2018 (rapport Dealogic 2019) :
- Nous nous sommes engagés à contribuer à hauteur de 100 milliards d’euros d’ici 2020 à la transition énergétique : 78% de cette somme est déjà atteinte avec notamment 21,5 milliards d’euros de conseil et financement dans le secteur des énergies renouvelables et 56,4 milliards d’euros d’émissions d’obligations vertes dirigées ou co-dirigées par la Banque.
- A fin 2018, le Groupe a atteint, avec deux ans d’avance, l’objectif de limiter à 19% avant 2020, la part du charbon dans la somme des énergies que nous finançons servant à produire de l’électricité, en ligne avec les scénarios de transition.
- Nous avons pris en mai 2019 de nouveaux engagements contre le charbon avec l’arrêt de la fourniture de nouveaux services ou produits aux entreprises clientes 1/ dont l’activité dans le charbon thermique est supérieure à 50% ; 2/ dont l’activité dans le secteur du charbon thermique est comprise entre 30% et 50% et qui n’ont pas de stratégie permettant de la réduire à 30% en 2025, ou qui ont des plans d’expansion.
- Sur le financement global des énergies fossiles, le rapport « Banking on Climate Change 2019 » publié par six organisations internationales indique que Société Générale ne figure qu’au 23ème rang du classement mondial des 33 grandes banques internationales.
Nous allons poursuivre nos travaux, y compris ceux relatifs à l'alignement de l’ensemble de nos activités sur des scénarii responsables de transition énergétique dans une démarche proactive de progrès continu.
Position du Groupe
14/03/2019
Monsieur Daniel BOUTON et SOCIÉTÉ GÉNÉRALE ont décidé de se désister de l’appel interjeté contre les décisions rendues par la 17ème Chambre du Tribunal Correctionnel de Paris le 21 décembre 2018 dans les affaires qui les opposaient au site MINORITAIRES.COM animé par Madame Marie-Jeanne PASQUETTE, et au site MEDIAPART pour un article de Madame Martine ORANGE.
Les deux jugements, tout en relaxant les auteures de ces articles sur le fondement de la bonne foi, retiennent que la preuve des faits imputés à Monsieur Daniel BOUTON et à SOCIÉTÉ GÉNÉRALE, à savoir, la violation d’un engagement de secret pris auprès des autorités gouvernementales et la commission d’un délit d’initié, n’était aucunement rapportée et que ces allégations portaient bien atteinte à leur honneur et à leur considération.
Dans ces conditions, Monsieur Daniel BOUTON et SOCIETE GENERALE estiment inutile de poursuivre la procédure.
Position de Société Générale en réponse à la manifestation des ONG ce jour
14/12/2018
Nous déplorons les excès et les actions répétées visant nos collaborateurs en agence ainsi que la diffusion d’informations exagérées, simplistes ou erronées qui dénigrent la réalité de nos engagements et de nos actions en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
Nous partageons le sentiment d’urgence face aux enjeux climatiques et c’est pourquoi nous avons pris des mesures concrètes dès 2015 avec l’arrêt de tout financement dédié au charbon, à la production de pétrole issu des sables bitumineux ou extrait en Arctique. Nous finançons massivement les énergies renouvelables, avec 100 milliards d’euros engagés entre 2016 et 2020. Dernièrement, et suite à de nombreux échanges avec l’ONG les Amis de la Terre, nous avons pris la décision d’exclure tout financement direct d’importations de gaz de schiste américain en France.
Pour autant, nous sommes convaincus que la transition énergétique énergétique ne sera efficace et acceptable que si elle appréhende de manière globale et juste socialement les exigences d’une croissance équilibrée et durable au profit de l’ensemble des citoyens de notre planète.
En ce qui concerne le projet Rio Grande au Texas, qui n’en est qu’à un stade d’études, nous évaluerons notre soutien concret d’ici le 1er semestre 2019 qui sera conditionné au strict respect de nos politiques environnementales et sociales.
Lettre ouverte à ceux qui se mobilisent pour le climat
Les engagements et réalisations de Société Générale pour la lutte contre le réchauffement climatique